Le 30 novembre dernier, la section Place publique de Cyberpresse.ca diffusait une lettre de deux chargés d'enseignements (HEC Montréal et Cégep régional de Lanaudière à l'Assomption) intitulée : Analphabètes de l'argent.
Un passage de la lettre soulève la question suivante : les institutions financières ou les représentants agissent-ils toujours dans le meilleur intérêt de leurs clients?
La question est pertinente, mais pas exclusive au monde de l'éducation financière et encore moins exclusive aux institutions financières et leurs représentants.
L'éducation financière est une responsabilité partagée... le consommateur (jeune ou vieux), les parents (endettés ou non, riches ou pauvres), l'école (idéalement...), les institutions financières et leurs représentants aussi, bref un peu tout le monde.
Le grand défi que nous avons est toujours celui de susciter l'intérêt du premier intéressé. le consommateur!
Par ailleurs, est-ce que cette limite entre la pratique d'une profession (représentant) et la transmission d'information éducative et objective est exclusive aux institutions financières? Qu'en est-il des professionnels de la santé par exemple? Ont-ils cette même limite à respecter entre conseils et suggestions de produits?
Intéressant... le professionnalisme des conseillers peut inclure de l'éducation.
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